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Washington  perdra le contrôle géopolitique avant les présidentielles de novembre 2024

Washington perdra le contrôle géopolitique avant les présidentielles de novembre 2024

GUERRE D’UKRAINE JOUR 601/ GUERRE DE GAZA JOUR 19 – Joe Biden a prononcé jeudi 19 octobre au soir le  discours présidentiel le plus réactionnaire de l’histoire américaine, imaginant que le monde puisse rester sous contrôle américain sans que Washington change rien à ses méthodes : affrontement avec la Russie confirmée comme cible numéro un de l’hostilité et des tentatives de déstabilisation américaines, encouragement à Israël qui devrait maintenir un état de tension permanente au Proche-Orient.


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Guterres/Abaya : les indignations sélectives du Point, par Modeste Schwartz

Guterres/Abaya : les indignations sélectives du Point, par Modeste Schwartz

Comme toute la presse oligarchique de la droite de Davos, le Point tire à boulets rouges sur la gauche de Davos – en l’occurrence : sur le secrétaire général de l’ONU, Guterres, qui a égratigné la démagogie islamophobe de Gabriel Attal –, mais en s’abstenant soigneusement de remarquer Davos. S’appliquant à un domestique éminent du WEF, cet exercice de cécité sélective finit par se voir.


Lalaina Andriamparany

Lalaina Andriamparany

Guterres soutient l’Afrique comme la corde soutient le pendu, par Modeste Schwartz

Guterres soutient l’Afrique comme la corde soutient le pendu, par Modeste Schwartz

António Guterres, à la tête de la succursale de Davos connue sous le nom « d’ONU », affirme que « le XXIe siècle pourrait être celui de l’Afrique ». Voyons ce qu’il en est. De quoi l’Afrique aurait-elle besoin pour cesser d’être un no man’s land livré aux safaris et aux raids extractifs en tout genre (des mines à la pédophilie) des aventuriers venus d’autres continents ?


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António Guterres et les Cavaliers de l’Apocalypse, par Ulrike Reisner

António Guterres et les Cavaliers de l’Apocalypse, par Ulrike Reisner

La crise de l'approvisionnement sera l'accélérateur de troubles sociaux dans les mois à venir. Le discours du secrétaire général devant l'Assemblée générale a clairement montré que l'ONU faisait partie du problème et non de la solution. Le discours du secrétaire général de l’ONU António Guterres devant l’Assemblée générale des Nations unies n’aurait pas pu commencer de manière plus cynique : « Notre monde est au plus mal. Les clivages s’accentuent. Les inégalités se creusent. Les difficultés s


courrier-strateges

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