Criminels de guerre ou terroristes ? La politique de l’autruche – par Yves-Marie Adeline
Poursuivons notre exploration des éléments de langage choisis pour commenter le drame de la Deuxième guerre du Kippour. On a vu qu’en France ou ailleurs, les esprits se sont échauffés entre, d’une part, ceux qui voudraient qualifier les actes survenus à Beeri de « crimes de guerre », et ceux qui préfèrent les qualifier de terroristes. Yves-Marie Adeline nous rappelle comme Camus que « mal nommer les choses, c’est ajouter aux malheurs du monde ». Parler de terrorisme plutôt que de crimes de gue
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