guerre de Crimée


Guerre d’Ukraine – Jour 400 – L’immense portée du rapprochement entre Pékin et Moscou
Odessa – Statue du duc de Richelieu (1766-1822),, à qui le Tsar Alexandre Ier confia la charge de gouverneur de la « Nouvelle Russie » de 1804 à 1814

Guerre d’Ukraine – Jour 400 – L’immense portée du rapprochement entre Pékin et Moscou

Le 400è jour de la guerre est aussi l’anniversaire du Traité de Paris qui mettait fin à la Guerre de Crimée, le 30 mars 1856. A l’époque, la Russie avait perdu la guerre contre la coalition des Britanniques, des Autrichiens et des Français. Pourtant, le vrai perdant de la guerre était la France de Napoléon III. Au lieu de se rappeler que la France ne peut être puissante que si la Russie est puissante et la France son alliée, l’Empereur s’était laissé entraîner dans une guerre qui ne lui rapporta


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Pourquoi Chateaubriand défendait la relation franco-russe – par Nicolas Bonnal

Pourquoi Chateaubriand défendait la relation franco-russe – par Nicolas Bonnal

De Gaulle parlait joliment d’une amitié contrariée entre France et Russie. Relisez le début de Guerre et paix et vous verrez qu’il est écrit en français. Il commence par ces lignes inspirées de Virgile : « On a décidé que Buonaparte a brûlé ses vaisseaux, et je crois que nous sommes en train de brûler les nôtres. » Le comte Tolstoï s’explique dans une français limpide, dont feraient bien de prendre exemple les romanciers contemporains. Il explique son parti-pris linguistique, qui détonne dans un


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