Comment succéder à un liquidateur ? C’est la question qu’évitent soigneusement de se poser Philippe, Darmanin, Attal et autres intermittents du spectacle macronien, que même leur propre presse subventionnée n’arrive plus vraiment à prendre au sérieux.
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Compilées par le Figaro, les réactions des ténors d’EELV aux conclusions du Conseil de planification écologique, prononcées lundi par Macron, sont, sans surprise, l’expression d’un maximalisme déçu. Mais c’est l’Obersturmführer Jadot qui résume le mieux cette position des miliciens locaux du fascisme vert-brun de Bruxelles : «L’écologie à la française, c’est la France condamnée par l’Europe.»
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En créant, en 50 ans de socialisme, un environnement fiscal, éducatif etc. cauchemardesque, nous avions fait notre possible pour couler nous-mêmes l’industrie automobile française. Comme elle s’obstinait malgré tout à survivre, les « trains de sanction » et « l’inflation » du Great Reset sont venus lui administrer le coup de grâce : 11 milliards de déficit au premier semestre 2023.
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Toute la presse subventionnée – soit directement par son empire, soit par l’Etat « français » qu’il possède en indivision avec quelques autres connivent – nous l’assure : Bernard Arnault souffre. Il souffre d’être de temps en temps classé en tête des fortunes mondiales. Il souffre d’être pris pour un financier – lui qui, comme nous le garantit l’expert Alain Minc, est en réalité un industriel ! Il souffre, en un mot, d’être mal-aimé des sauvages qui zonent sur son beau latifundium hexagonal, aff
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En Macronistan, chacun sait qu’on ne peut pas écarter les migrants du territoire national, comme de vulgaires sans-dents contagieux des plages hexagonales en période de Rhume19. On peut, en revanche, facilement les éloigner (dans le même wagon que nos SDF du terroir) de Paris, où Emmanuel 1er attend pour ses JO des hôtes de marque.
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« N’arrivant plus » à financer les retraites, le mari de Brigitte ne trouve, en revanche, rien trop cher pour son chouchou Zelensky, qui – manquant apparemment de confiance dans la fiabilité de l’aviation ukrainienne – se balade désormais dans un avion estampillé « République française ».
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Le terme « d’euro-Maïdan », employé pour désigner le putsch qui, en 2014, a porté au pouvoir la junte à l’origine de l’actuel pouvoir kiévien, incitait (notamment les citoyens ukrainiens) à penser qu’il s’agissait « d’européaniser » l’Ukraine. Les agissements d’Ursula « SMS » von der Leyen montrent de plus en plus clairement qu’il s’agit, au contraire, de faire de l’Europe une Grande Ukraine : l’Euroslavie.
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