De façon très symptomatique, c’est dans une parfaite simultanéité que, en France, la crise des retraites entre dans une phase cruciale et, aux Etats-Unis, la 16è banque du pays fait défaut, marquant le début d’une crise obligataire qui devrait avoir des conséquences dévastatrices. Dans ce grand projet mondialiste qu’était le Great Reset, fondé sur un retour du Big Government, de l’autorité sans partage du pouvoir exécutif et sur le recours intempestif à la planche à billets, les failles apparais
Éric Verhaeghe
Après un échange de vues actif, fin février, sur la situation actuelle et ses perspectives entre les trois « centres du pouvoir » mondiaux (Russie, États-Unis, Chine), une période d’accalmie s’est installée. Très probablement, très courte : un maximum de deux semaines, pas plus. Car pas plus tard que les dix derniers jours de mars, de nombreux « faisceaux » militaro-politiques et financiers-économiques devraient converger vers un objectif commun. La seule question est de savoir où se produira ce
Lalaina Andriamparany
J’ai été surpris de voir tous nos grands stratèges s’interroger sur l’attitude de la Chine vis-à-vis de la Russie. Visiblement, ils pensaient sincèrement que la Chine allait faire les gros yeux à cette dernière, car, pour eux, ses yeux demeuraient rivés sur la ligne bleue de son commerce extérieur et qu’en aucun cas elle ne pouvait prendre le risque de froisser l’Occident, son principal client.
Rédaction
Littéralement en une semaine, la Russie s’est retrouvée dans une nouvelle situation monétaire. Les taux du dollar et de l’euro ont augmenté de 5 roubles : les billets de banque américains se sont approchés de la marque de 75, et l’euro de 80 roubles. Une hausse aussi brutale n’a pas été observée depuis décembre de l’année dernière, lorsque la position de la devise a été influencée par les « plafonds » des prix du pétrole et du gaz fixés par l’Occident, le neuvième paquet de sanctions de l’UE et
courrier-strateges
« Les chars, je connais. J’ai servi et j’ai surtout beaucoup appris à les détruire. Au final c’est facile, presque un sport vu ce qu’on envoie en Ukraine. Les Russes vont littéralement faire du tir au pigeon d’autant que ces chars n’auront même pas de couverture aérienne, du quasi suicide » – C’est ainsi que notre ami Alexandre N a commencé sa réponse à nos questions. Lisez jusqu’au bout, ça décoiffe.
courrier-strateges
La grande agitation médiatique qui s’est emparée du monde depuis trois ans, alternant la pandémie, le réchauffement (pardon, il faut dire « dérèglement » pour bien montrer que c’est l’Homme qui a dérèglé le climat) et maintenant la guerre en Ukraine servirait-elle de paravent pour cacher une autre menace ?
Rédaction