dépenses de santé


Qui coûte le plus au système de santé en France ?

Qui coûte le plus au système de santé en France ?

Dans la mythologie inventée de toutes pièces, insistons sur ce point, selon laquelle on ne saurait pas où passe le pognon (comme s’il était détourné par une mafia), la question des dépenses de santé est très importante. De vraies légendes urbaines sont colportées pour avachir la population, en expliquant par exemple que les budgets des hôpitaux sont en baisse constante, ou que des emplois sont supprimés dans ces mêmes hôpitaux. Nous rappelons ici, preuve à l’appui, que les centaines de milliards


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Machabert : « L’hôpital public n’a pas de problème de budget, mais d’organisation »
Siege France2 et hopital George Pompidou. Illustration vue aerienne de Paris. Paris, FRANCE-27/08/2008

Machabert : « L’hôpital public n’a pas de problème de budget, mais d’organisation »

Dans cet entretien avec Florent Machabert, nous abordons la question épineuse des moyens de l’hôpital public. Que valent les rumeurs folles selon lesquelles l’Etat se désengagerait de l’hôpital, et selon lesquelles « Macron aurait baissé le budget des hôpitaux » ? Rien ne vaut un bon retour aux chiffres…


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Faut-il ou non supprimer des lits d’hôpitaux ?

Faut-il ou non supprimer des lits d’hôpitaux ?

La machinerie de la protection sociale est devenue si compliquée que peu de gens s’y retrouvent encore. Beaucoup de Français sont convaincus que le budget de la santé en France baisse parce que des lits d’hôpitaux sont fermés chaque année. Les deux sujets sont pourtant très différents : les lits d’hôpitau ferment parce que les progrès de la chirurgie rendent de moins en moins utiles les hospitalisations longues pour un oui ou pour un non. Dans le même temps, le nombre de lits en soins critiques


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Austérité : le gouvernement sacrifie les cancéreux sur l’autel des absentéistes et des bobologisés

Austérité : le gouvernement sacrifie les cancéreux sur l’autel des absentéistes et des bobologisés

Comment faire les indispensables économies dans la santé ? Il y a la méthode morale, qui consiste à demander aux très nombreux assistés de tous poils de se serrer la ceinture pour aider les quelques grands malades. Et il y a la méthode populiste, qui consiste à sacrifier les quelques grands malades en sursis pour faire plaisir aux nombreux assistés qui seront encore vivants aux prochaines élections. Déjà auteur d’instructions illégales sur la vaccin en 2021, Frédéric Valletoux, groupie d’Edouard


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Deux très mauvaises nouvelles économiques à relever

Deux très mauvaises nouvelles économiques à relever

Nous avons évoqué les risques de défaut dans les dépenses publiques, qui seront accrus en 2024. Les conséquences d’un « incident » de paiement de ce type seraient très douloureuses pour tous les Français. Dans la pratique, la menace principale qui pèse sur notre économie (et surtout sur nos économies) tient au caractère incontrôlable de nos dépenses publiques, et tout particulièrement de nos dépenses sociales. C’est un sujet impopulaire et tabou, dont nous rappelons pourtant la réalité ici. Le f


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Santé : 270 milliards de dépenses courantes, 130 milliards de déficit supplémentaire d’ici 2025

Santé : 270 milliards de dépenses courantes, 130 milliards de déficit supplémentaire d’ici 2025

De manière structurelle, l’équilibre financier de l’assurance maladie est affecté par les effets du vieillissement de la population et par l’expansion des pathologies chroniques sur les dépenses de santé. En outre, les impacts de la crise sanitaire sur les recettes comme sur certaines dépenses risquent de creuser davantage et durablement les déficits de l’assurance maladie. Pour amorcer son retour à l’équilibre et garantir l’accès à des soins de qualité, il sera essentiel de mobiliser des marges


Rédaction

Rédaction

Pour en finir avec le mythe d’une baisse des dépenses hospitalières « néo-libérale » en France

Pour en finir avec le mythe d’une baisse des dépenses hospitalières « néo-libérale » en France

Un mythe contemporain veut que les dépenses hospitalières aient, en France, baissé depuis dix ou quinze ans du fait de "politiques néo-libérales" qui sacrifieraient le service public pour favoriser les acteurs privés tous azimuts. Ce grand mythe de la privatisation est actionné par des défenseurs de l'étatisation à tout crin, au mépris des réalités. Il s'agit d'un moyen commode d'expliquer le naufrage français dans la gestion du coronavirus en occultant consciencieusement l'inflation bureaucrati


Éric Verhaeghe

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