BRICS


De l’instabilité du système dollar, par Jean Goychman

De l’instabilité du système dollar, par Jean Goychman

En juillet 1944, les représentants des États-Unis aux négociations de Bretton Woods avaient pu imposer le dollar comme monnaie de réserve internationale en raison de sa convertibilité en or. C’était un argument majeur, car quasiment plus aucune autre monnaie n’était dans ce cas. John Keynes, économiste de réputation mondiale, qui représentait le Royaume-Uni, avait bien tenté d’orienter le choix vers une autre monnaie qu’il appelait le « bankor ».


Rédaction

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Sommet des BRICS : Poutine prendra-il le risque d’aller en Afrique du Sud ? par Svpressa

Sommet des BRICS : Poutine prendra-il le risque d’aller en Afrique du Sud ? par Svpressa

L’attaché de presse du président de la République d’Afrique du Sud, Vincent Magvenia, a vécu sa « minute de gloire » en commentant la décision de la Cour pénale internationale (CPI) d’« arrêter » le président russe Vladimir Poutine. Il a déclaré que le pays était « conscient de ses obligations légales » lors de la visite du dirigeant russe au sommet des BRICS en août prochain. Ainsi, dans les six prochains mois, l’intrigue va continuer et le pays hôte du Sommet devra poursuivre « l’interaction a


courrier-strateges

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Comment les BRICS vont chasser le dollar de son trône, par Jean Goychman

Comment les BRICS vont chasser le dollar de son trône, par Jean Goychman

J’ai été surpris de voir tous nos grands stratèges s’interroger sur l’attitude de la Chine vis-à-vis de la Russie. Visiblement, ils pensaient sincèrement que la Chine allait faire les gros yeux à cette dernière, car, pour eux, ses yeux demeuraient rivés sur la ligne bleue de son commerce extérieur et qu’en aucun cas elle ne pouvait prendre le risque de froisser l’Occident, son principal client.


Rédaction

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Scholz: « 700 millions d’Occidentaux. Et moi, et moi! »

Scholz: « 700 millions d’Occidentaux. Et moi, et moi! »

L’Allemagne se trouve rejetée de facto par ses partenaires historiques depuis 1945. Aboutissement paradoxal quand on sait comme la préoccupation a été, en 1945, et même en 1990, d’enserrer la puissance allemande dans un réseau d’alliances. Olaf Scholz ne sait pas vers qui se tourner. Et pourtant il aimerait tant que la guerre d’Ukraine se finisse – pour l’économie allemande. Mais comment franchir le pas de s’affirmer comme nation dotée d’une politique autonome, aux côtés des BRICS, d’Israël ou d


CDS

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