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Faut-il conserver le  Baccalauréat ? par Yves-Marie Adeline

Faut-il conserver le  Baccalauréat ? par Yves-Marie Adeline

En France, le mois de juin est ponctué par les épreuves du baccalauréat, sans compter les sessions de rattrapage ou de remplacement qui ont lieu en septembre. « Baccalauréat » : un nom bizarre dont on ne comprend pas le sens, on lui préfère d’ailleurs sa contraction « le bac », car il est bel et bien comme ces petits bateaux qui font passer d’une rive à l’autre, un bateau sans envergure et pourtant indispensable, une nécessité académique que l’on pourrait juger exagérée… mais nous y reviendrons.


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Tué par sa propre inflation: la crise terminale du baccalauréat

Tué par sa propre inflation: la crise terminale du baccalauréat

A 95% de succès en filière générale et 88% en filière technologique, le baccalauréat a vécu. La crise du COVID-19 n'explique pas tout. Le décalage croissant entre l'ambition de mesurer la personnalité des élèves en plus des connaissances et la réalité sociologiques toujours plus hétérogène de la société a conduit, tout simplement, à la dévalorisation, désormais achevée d'un diplôme qui était autrefois le sésame de l'accès à l'enseignement supérieur et la vie professionnelle. Un clou de plus est


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Boycott du baccalauréat : les enseignants toujours dans leurs injonctions paradoxales

Boycott du baccalauréat : les enseignants toujours dans leurs injonctions paradoxales

Le boycott du baccalauréat (ou en tout cas de ses nouvelles épreuves de contrôle continu) passe un peu inaperçu à travers la crise des retraites que le gouvernement ne parvient pas à régler. Pourtant, ce boycott, qui donne lieu à des débordements ahurissants, illustre la profonde décrépitude de ce clergé républicain qu'est le corps enseignant. À sa tête, des syndicats toujours plus poujadistes, et de plus en plus assumés dans cette posture, se complaisent dans les injonctions paradoxales pour ju


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