Andrew Bridgen : un premier tory passe du « côté maléfique » de la farce , par Modeste Schwartz

Andrew Bridgen : un premier tory passe du « côté maléfique » de la farce , par Modeste Schwartz

Député conservateur britannique, Andrew Bridgen avait pourtant bien commencé son parcours covidiste, sur une ligne Trump : grognant un peu contre des confinements qui, tout en sabotant l’économie, n’ont probablement pas sauvé un seul nonagénaire de la grippe (cf. contre-exemple suédois), il avait ensuite applaudi des deux mains l’arrivée des sérums magiques, et foulé aux pieds le caractère privé des actes médicaux, en se vantant bruyamment de ses doses sur les réseaux sociaux.