Formulé dans une novlangue climatiste assez correcte, un article de Challenges, relayant des chiffres de l’Agence Internationale de l’Energie, dévoile toute la vacuité du récit climatiste : non seulement « la consommation de charbon bat des records », mais surtout, sa répartition géographique montre bien que l’acceptation ou le rejet de l’évangile climatiste manifeste en réalité une faille anthropologique.
