Cochant toutes les cases du Reset, le groupe Stellantis, comme par hasard, est bénéficiaire. Au beau milieu d’une Bérézina automobile occidentale, ce groupe créé par fusion de PSA avec Fiat-Chrysler gâte ses employés au titre de la participation – comme quoi, la technocratie gaullienne fonctionne aussi très bien sous pavillon euro-davosien : quelle surprise !
