Pourquoi un vrai souverainiste ne peut défendre le monopole de la sécurité sociale

Pourquoi un vrai souverainiste ne peut défendre le monopole de la sécurité sociale
Réunion publique du parti « Union Populaire Républicaine » à la maison du peuple de Belfort, dans le cadre de l’élection législative partielle des 28 janvier et 4 février 2018, en présence de François Asselineau (président-fondateur de l’UPR), Vincent Brousseau et Charles-Henri Gallois, Jonathan Vallart (candidat) et Aurore Macé (suppléante).

De parfaits imposteurs nous expliquent à cors et à cris que défendre la souveraineté française, c’est défendre le bien commun contre l’idéologie du marché, et c’est défendre le service public contre la privatisation. Bien entendu, chacun a le droit de préférer le service public à l’entreprise privée. Mais prétendre que cette préférence socialiste relève du souverainisme est un exercice de haute voltige dont le Conseil d’Etat vient de nous rappeler avec brio qu’il était d’abord la marque de la caste mondialiste. Prétendre que la souveraineté passe par l’Etat, voilà un bel exercice d’infiltration cognitive qui permet de mettre les souverainistes les plus crédules au service de l’idéologie déployée par ceux qui nous dominent…