 
      
  Migrants, coronavirus : de la société de la fête à la société de la peur
Progressivement, la société de la fête décrite par Philippe Muray cède la place à la société de la peur. Entre les arrivées massives de migrants qui se fixent ensuite aux portes de nos villes, dans d'infâmes bidonvilles, et la propagation des épidémies incontrôlables comme celle du coronavirus, la peur, les peurs, sont partout, jusqu'à constituer le ciment de notre vivre ensemble. Comment avons-nous pu passer aussi vite d’une société de la fête à une société de la peur ? En l’espace de vingt an
 
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