 
      
  On ne vaccine pas les réfugiés car il n’y a personne pour porter le risque juridique et financier à la place de Big Pharma!
Toute l'imposture de la politique vaccinale occidentale apparaît au grand jour. Des réfugiés, des demandeurs d’asile et des migrants pourraient ne pas accéder aux vaccins contre le Covid-19 dans le cadre d’un programme mondial en raison des effets secondaires graves qui pourraient générer des sanctions d’ordre juridique et financier pour l'industrie pharmaceutique. En fait, les labos reconnaissent donc que leurs produits sont toxiques. En Amérique du Nord ou en Europe, les gouvernements sont pr
Lalaina Andriamparany
 
      