 
      
  Pourquoi n’être ni vacciné ni russophobe est un privilège qui n’est pas donné aux macronistes
Au fil du temps, un marqueur "chimique" a inversé la tendance instinctive de la société française sans que nous ne nous en rendions compte : les vaccinés s'excusent progressivement (dans une proportion grandissante) d'avoir reçu l'injection, et la résistance aux narratifs officiels (celui du vaccin au premier chef, et peu à peu celui de la guerre en Ukraine) est perçue avec une admiration ou une confiance croissantes. Même ceux qui sont convaincus que Poutine est méchant et que le vaccin est une
 
        Éric Verhaeghe
 
      