Schiappa, Playboy et l’essor de la Pornocensure, par Modeste Schwartz
La secrétaire d’État Schiappa et son nouvel organe de presse – qui se trouve être Playboy – ne décolèrent plus contre ceux des médias qui, paradoxalement, ont relayé leur opération de com’ – mais pas sur le bon ton. Erigée en politique d’Etat, la provo réclame désormais aussi un droit de censure sur sa réception dans l’opinion. Décryptage à la lumière de la théologie woke.
Lalaina Andriamparany