Karabakh


La France prépare-t-elle l’Arménie à une guerre avec la Turquie ? Ou avec la Russie ? par Dmitri Rodionov

La France prépare-t-elle l’Arménie à une guerre avec la Turquie ? Ou avec la Russie ? par Dmitri Rodionov

Nous avons déjà eu l’occasion de souligner le manque de lisibilité de la politique étrangère du président Macron et ses conséquences sur l’image de notre pays. La diplomatie française ressemble de plus en plus à un champ de blé qui aurait brûlé avant la récolte. Bref, un amas de cendres. Mais « l’incendiaire » – appelons un chat un chat – ne se contente pas d’avoir détruit les relations avec la Russie, l’Afrique, le Moyen-Orient, et d’avoir provoqué quelques malaises dans d’autres régions du mon


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Pashinyan craint que l’Azerbaïdjan ne déclenche une nouvelle guerre, par Dmitri Rodionov

Pashinyan craint que l’Azerbaïdjan ne déclenche une nouvelle guerre, par Dmitri Rodionov

A force d’avoir suivi depuis son élection la ligne de l’Occident, tout en marginalisant le Kremlin, à force d’avoir tout concédé à l’Azerbaïdjan sans garantie concernant le Haut Karabakh, Pashinyan a placé l’Arménie dans une situation difficile et qui risque de le devenir davantage dans les mois qui viennent. Car outre le Karabakh, l’ensemble du pays pourrait faire l’objet d’un conflit territorial. Ainsi que le déclarait récemment et de façon lucide, la romancière russe, Narinai Abgaryan, d’orig


Rédaction

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Comment l’Azerbaïdjan façonne l’avenir de l’Arménie, par Evgeny Krutikov

Comment l’Azerbaïdjan façonne l’avenir de l’Arménie, par Evgeny Krutikov

L’objectif principal de l’Occident est d’évincer la Russie de la Transcaucasie et d’y prendre pied. Ainsi, l’Arménie et l’Azerbaïdjan sont, pour les États-Unis, l’UE et la Grande-Bretagne, des pions dans ce « jeu de Go ». En 2022, l’Occident avait contraint le Premier ministre arménien, Nikol Pashinyan, à reconnaître le Karabakh comme faisant partie de l’Azerbaïdjan. La raison ? Le gaz et le pétrole azerbaïdjanais sont très importants pour l’Union européenne dans le contexte actuel. La manœuvre


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La Roumanie s’immisce en mer Noire sous couvert d’une inquiétude pour la «sécurité» de l’Ukraine, par Vladislav Goulevitch

La Roumanie s’immisce en mer Noire sous couvert d’une inquiétude pour la «sécurité» de l’Ukraine, par Vladislav Goulevitch

Un des nombreux constats que l’on peut tirer du conflit ukrainien, c’est la propension de petits États – sous l’ombrelle apparemment protectrice de l’OTAN – à jouer les matadors face à la Russie : l’on pense bien sûr aux Pays Baltes – Lituanie en tête – mais aussi à la Roumanie, dont la situation sur la mer Noire se révèle être stratégique pour l’organisation Atlantiste. Ainsi, Luminița Odobescu, le ministre roumain des Affaires étrangères, dans une interview accordée à Antena 3 CNN, a annoncé r


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Néo-ottomanisme et Arménie dans le contexte de la « reddition » du Karabakh, par Ritmeurasia

Néo-ottomanisme et Arménie dans le contexte de la « reddition » du Karabakh, par Ritmeurasia

Bien que toute notre attention soit aujourd’hui portée sur le conflit en Ukraine – et en particulier sur un usage potentiel de l’arme nucléaire, ainsi que l’a mentionné Dmitri Medvedev aux journalistes lors d’une visite au Vietnam (« Si Kiev reçoit des armes nucléaires de l’Occident, la Russie devra lancer une frappe préventive ») – l’on oublie que d’autres foyers de tensions se développent de façon préoccupante. Il ne s’agit pas seulement de Taïwan et des menaces de plus en plus sévères de la C


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Le règlement du Karabakh est impossible sans la Russie, par Daria Khaspekova

Le règlement du Karabakh est impossible sans la Russie, par Daria Khaspekova

Décembre a été marqué par l'activation de l'Azerbaïdjan, tant dans le Caucase que dans la direction de la Caspienne. L'insistance de Bakou pour le règlement du Karabakh est facile à comprendre : Ilham Aliyev a promis de parvenir à un accord de paix d'ici la fin de l'année, ce qui n'est que dans quelques jours. Cependant, alors que l'Occident tente d'accélérer le processus de paix, toutes les parties au conflit se rendent compte que sans la Russie, une véritable solution au problème est impossibl


Rédaction

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