indépendance des banques centrales


L’indépendance des banques centrales est-elle vraiment un marqueur du souverainisme ?

L’indépendance des banques centrales est-elle vraiment un marqueur du souverainisme ?

Donald Trump a causé une nouvelle crise boursière en annonçant, la semaine dernière (avant de faire marche arrière), le limogeage de Jerome Powell, patron de la Réserve fédérale américaine. Une fois de plus, la question de l’indépendance des banques centrales est posée. Et les solutions simples que certains présentent comme la clé de voûte du souverainisme montrent leur toxicité. Ulrike Reisner nous rappelle qu’avant Trump, Viktor Orban avait eu les mêmes ambitions. La question de l’indépendanc


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Pourquoi les banquiers centraux doivent rester indépendants ? par Arthur Cyclops

Pourquoi les banquiers centraux doivent rester indépendants ? par Arthur Cyclops

Les récentes attaques de Donald Trump contre le patron de la Réserve Fédérale américaine, Jerome Powell, ont remis sur le devant de la scène la question sensible de l’indépendance des banquiers centraux, sujet urticant pour de nombreux souverainistes volontiers emportés par des slogans faciles sur le « contrôle de la monnaie ». Mais pourquoi au juste l’indépendance des banquiers centraux protège-t-elle le niveau de vie des plus pauvres ?


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

L’indépendance des banques centrales est-elle soutenable?

L’indépendance des banques centrales est une pierre angulaire du capitalisme contemporain. Cette particularité n’est pas sans poser problème, puisque les banquiers centraux, s’ils sont soumis à un mandat par les pouvoirs publics, peuvent s’affranchir de toute commande venue de ceux-ci. En Europe, cette indépendance est d’autant plus lourde à porter que le mandat de la BCE prévoit seulement la fonction de lutte contre l’inflation, sans se préoccuper de la croissance (ce qui n’est pas le cas de la


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe