En France, l’hystérie du coronavirus ne fait que commencer
Une semaine après l’annonce d’un déconfinement flou le 11 mai, l’hystérie s’est totalement emparé des esprits et plus aucun débat public ne peut avoir lieu sans sombrer dans des passions furieuses. Cette occupation des esprits par la déraison, singulièrement dans les élites parisiennes, permet de souffler encore un peu avant la panique économique qui s’annonce. L’hystérie s’est emparée du débat public. Le coronavirus a aboli la rationalité et désormais ne dominent plus, dans les esprits, que le
Éric Verhaeghe