Chiens d’acier, tanks apprivoisés : le Koursk du ridicule, par Modeste Schwartz
Les tanks occidentaux transitionnant vers le vert, c’est désormais aux chiens de manifester l’héroïsme du « camp ukrainien » : si le ridicule tuait, les Russes n’auraient plus besoin d’obus. C’est d’abord la presse roumaine qui a illuminé notre journée du vendredi en racontant l’épopée de Basile, ce chien soldat-ukrainien « qui a préféré se sectionner une jambe avec les dents plutôt que de laisser les Russes le faire prisonnier ». Gide (qui connaissait bien son sujet) aurait affirmé que les chie
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