 
      
  Macron peut dire merci au cartel de la presse subventionnée
Emmanuel Macron a remporté le second tour de la présidentielle avec un score relativement confortable, mais inférieur à celui de 2017, et assis sur une abstention plus forte. Durant quinze jours, la caste n’a ménagé ni son temps ni sa peine pour discréditer la rivale du sortant et pour agiter les peurs les plus irrationnelles afin d’assurer la défaite de celle-ci. On comprend aujourd’hui pourquoi la presse est subventionnée et concentrée entre les mains de quelques milliardaires : l’hégémonie cu
 
        Éric Verhaeghe
 
      