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La BCE s’inquiète d’une crise systémique de la finance privée en Europe

La BCE s’inquiète d’une crise systémique de la finance privée en Europe

Certes, il y a les risques de finances publiques, notamment en France, qui ne manquent pas d’inquiéter la BCE. Mais il y a plus grave et, de façon significative, le cartel de la presse subventionnée n’en a pas parlé : la même BCE vient de lancer une alerte sur le « shadow banking », qui avait déjà fait couler l’économie mondiale en 2008, et qui prend une ampleur redoutable sur le vieux continent, en dehors de toute régulation bancaire.


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

La BCE est-elle au bord du burn-out ? par Ulrike Reisner

La BCE est-elle au bord du burn-out ? par Ulrike Reisner

Comme le montrent des études récentes, une grande partie des employés de la Banque centrale européenne souffrent de stress psychologique. Parmi les nombreux arguments avancés pour justifier cette situation, il en manque un essentiel : ces dernières années, la BCE a financé la quasi-totalité du déficit budgétaire de la zone euro, soit environ 6.000 milliards d’euros. La question de savoir comment les États pourront réduire cette montagne de dettes reste pour l’instant totalement ouverte. De nombr


Rédaction

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L’euro numérique : les banques craignent pour leur activité, par Ulrike Reisner

L’euro numérique : les banques craignent pour leur activité, par Ulrike Reisner

Les banques jouent un rôle central dans l’introduction de l’euro numérique. D’une part, elles doivent mettre à disposition l’infrastructure nécessaire et veiller à la sécurité des données. D’autre part, leur charge de travail augmente en tant que « gardiens » dans la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, imposée par la loi. Les maisons de finance craignent de devoir supporter elles-mêmes la majeure partie des investissements et de perdre en même temps une partie d


Rédaction

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Après les élections : qui parlera des 6000 milliards d’euros ? par Ulrike Reisner

Après les élections : qui parlera des 6000 milliards d’euros ? par Ulrike Reisner

Les votes n’étaient pas encore comptés que les carrousels de personnel commençaient déjà à tourner. On se croirait sur un marché aux bétails : on négocie et on marchande, le tout accompagné par les bruits de fond des médias. La conférence des donateurs sur l’Ukraine à Berlin et le prochain sommet de la paix en Suisse ne manqueront pas de faire diversion. Un thème central reste donc sans réponse – comme c’était déjà le cas avant les élections : comment l’UE, comment les États membres veulent-ils


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La BCE met-elle les Etats sous curatelle ? par Ulrike Reisner

La BCE met-elle les Etats sous curatelle ? par Ulrike Reisner

Tout le monde s’attend à ce que la BCE abaisse ses taux d’intérêt. Mais ceux qui espèrent ainsi la fin du renchérissement pourraient être déçus. L’augmentation de la dette publique, les retards d’investissement dans les infrastructures publiques et la crise énergétique et économique – dont l’UE est elle-même responsable – ne devraient pas faire baisser les prix à long terme. Les projets d’union fiscale et d’union de la dette font en outre craindre que les derniers instruments de pilotage de leur


courrier-strateges

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L’argent devient-il un élément de notre identité numérique ? par Ulrike Reisner

L’argent devient-il un élément de notre identité numérique ? par Ulrike Reisner

La numérisation caractérise déjà une grande partie de notre quotidien. Même le paiement par banque électronique ou sur Internet est une évidence pour beaucoup. Alors pourquoi s’agiter autour de la monnaie numérique de banque centrale ? Le sujet étant très complexe, il convient de l’aborder sous plusieurs angles. L’un d’entre eux est l’introduction de l’« identité numérique » et ses liens possibles avec l’euro numérique.


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L’euro numérique : nous avons besoin de faits, pas de propagande (4e et dernière partie), par Ulrike Reisner

L’euro numérique : nous avons besoin de faits, pas de propagande (4e et dernière partie), par Ulrike Reisner

L’argent numérique va-t-il entraîner une surveillance totale de notre société ? L’inquiétude est grande quant à la perte de la vie privée. Les lobbyistes nous promettent une sécurité incomparable. Pourtant, l’euro numérique offre une multitude de conditions technologiques pour de nouvelles interventions et restrictions de nos droits fondamentaux et de nos libertés. La seule question est de savoir quels intérêts seront poursuivis dans les années à venir dans les centres de commande politiques. La


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L’euro numérique : nous avons besoin de faits, pas de propagande (3e partie), par Ulrike Reisner

L’euro numérique : nous avons besoin de faits, pas de propagande (3e partie), par Ulrike Reisner

La composante technologique d’une monnaie numérique offre des possibilités qui n’existent pas avec l’argent liquide physique. Pensons à la programmation, que les lobbyistes contestent toutefois avec véhémence en ce qui concerne l’euro numérique. Mais la question n’est pas de savoir si la BCE programme l’euro. Cette monnaie numérique elle-même crée des conditions technologiques idéales pour la programmation par des tiers : que ce soit dans l’Internet des objets ou sous la forme de contrats intell


Rédaction

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