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SCPI : n’écoutez pas votre banquier !Dossier N°56

SCPI : n’écoutez pas votre banquier !Dossier N°56

Le retour de Donald Trump aux affaires est, nous l’avons largement expliqué dans les colonnes du Courrier, synonyme de retour de l’inflation. Si vous vous étiez procuré notre dossier N°14, vous savez déjà que les SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier, parfois appelées « pierre papier ») figurent parmi les actifs favorisés par le phénomène inflationniste, fût-ce avec retard. La baisse du principal taux directeur des 2 banques centrales de part et d’autre de l’Atlantique, depuis juin 2024


Rédaction

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Le retour possible de Trump aux affaires : atout ou menace pour le bitcoin ?

Le retour possible de Trump aux affaires : atout ou menace pour le bitcoin ?

Alors qu’aux USA le vent semble tourner en faveur du candidat a priori le plus favorable à Bitcoin, les nouvelles n’en finissent plus d’être favorables à la reine des cryptos : nouveau plus-haut en bourse, possible placement par Microsoft d’une partie de sa trésorerie en bitcoin, constitution nolens volens de réserves en bitcoin par le Gouvernement US, déclaration en forme d’aveu de deux économistes de la BCE qui veulent réglementer bitcoin pour ne pas désavantager… ceux qui n’en ont pas, etc.


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L’introduction de l’euro numérique coûterait « un pognon de dingue », par Ulrike Reisner

L’introduction de l’euro numérique coûterait « un pognon de dingue », par Ulrike Reisner

Le Chypriote Fidias Panayiotou est YouTuber et fraîchement élu député au Parlement européen. Cette semaine, il a posé deux questions simples à l’un des directeurs de la BCE : combien coûte l’introduction de l’euro numérique et combien de temps cela prendra-t-il ? How Much Will the Digital Euro Cost? pic.twitter.com/EfTIugfA0I — Fidias (@Fidias0) September 23, 2024


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Flat tax : comment sa probable suppression stérilisera l’économie française

Flat tax : comment sa probable suppression stérilisera l’économie française

Après l’« inflation monétaire » (effondrement du taux directeur) provoquée par la BCE pour contrer le Covid et l’« inflation énergétique » de l’automne 2021 que sont venues aggraver les sanctions européennes contre la Russie, et enfin la « stagflation » (absence de croissance économique en contexte inflationniste), la France pourrait à présent entrer en «taxflation », sorte d’« état d’urgence fiscal » qui ne serait probablement pas pour déplaire à un Premier ministre en quête non seulement de Go


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Plus personne ne doute que les entrepreneurs vont être matraqués en 2025

Plus personne ne doute que les entrepreneurs vont être matraqués en 2025

Il n’aura pas fallu plus de 10 jours à Michel Barnier pour faire passer l’idée que nous annonçons depuis cet été : l’augmentation de la flat tax, voire sa suppression au 1er janvier 2025. Alors même que la BCE a annoncé la baisse de ses taux (ce qui n’est pas bon signe pour le taux d’intérêt du livret A). Bref, la situation n’est pas très encourageante… et les mesures négatives devraient s’enchaîner à partir d’octobre pour tous les entrepreneurs.


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Monnaies numériques – jetons du nouveau monde multipolaire, par Ulrike Reisner

Monnaies numériques – jetons du nouveau monde multipolaire, par Ulrike Reisner

L’introduction éventuelle d’un euro numérique soulève un certain nombre de questions importantes, notamment celles relatives à la protection des données, au contrôle par programmation ou à la surveillance. En fait, il est également important de considérer cette question dans un contexte mondial. En effet, des travaux sont en cours dans le monde entier pour introduire des monnaies numériques – afin d’être compétitif, mais aussi pour atteindre des millions de personnes dans les régions qui ne sont


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Bras de fer autour de l’euro numérique, par Ulrike Reisner

Bras de fer autour de l’euro numérique, par Ulrike Reisner

Alors que la BCE poursuit avec élan le développement de l’euro numérique, le cadre législatif nécessaire n’a pas pu être adopté au cours de la dernière législature. Le projet de loi est resté bloqué au sein de la Commission des affaires économiques et monétaires (ECON), où deux députés conservateurs allemands ont apparemment contribué au retard. En arrière-plan se trouvent les intérêts commerciaux du secteur bancaire et du crédit qui, de leur côté, poursuivent leurs propres objectifs avec l’Euro


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