Un ministère des droits des animaux ou la défense de la cause du « grand méchant loup »
La morale et la loi réprouvent aujourd’hui les mauvais traitements aux animaux. Pour autant, consciemment ou non, le sens commun, tout au moins dans nos sociétés occidentales, établit une nette frontière entre l’homme et l’animal et admet que l’homme règne sur le monde végétal et animal. Notre charte de l’environnement conserve cet aspect humaniste : l’environnement est considéré comme "le patrimoine commun des êtres humains". Un mouvement d’idées, très minoritaire encore que très militant, cont
Rédaction